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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
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Lots recommandés

1955 Mercedes-Benz 300 SL "Papillon" No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 198.040 5500641 Moteur n° 198.980 5500663 • Restauration magnifique par Paul Russell • Equipée de rares jantes Rudge chromées à fixation centrale d’origine • Mécanique d'origine, historique connu • Magnifique combinaison de couleurs • Sans réserve Châssis tubulaire, moteur 6-cylindres à injection directe, carter sec, freins ailetés Alfin, roues indépendantes, carrosserie profilée, la Mercedes 300 SL est née de la course automobile. Merveilleuse trouvaille, les portes "papillon" qui vont lui donner son nom ne répondent pas à un subterfuge esthétique, mais à la structure du châssis qui monte haut sur les côtés pour la meilleure rigidité possible. Ce qui était une contrainte se transforme en une des caractéristiques qui vont faire de cette voiture une légende : elle le mérite et les amateurs ne vont pas s'y tromper. Après sa présentation en 1954 au Salon de New York, la liste des acheteurs de la nouvelle Mercedes sont un véritable "Who's Who" des célébrités de l'époque : Pablo Picasso, le Shah d'Iran, le prince Ali Khan, Clark Gable, Tony Curtis, le roi Hussein de Jordanie... sans parler d'amateurs d'automobiles comme Luigi Chinetti ou Briggs Cunningham. En 1956, il faut débourser 5,4 millions de francs pour une 300 SL, contre 1,6 million pour une Porsche 356 1600 Super. Quant aux performances, elles font de la 300 SL une dominatrice absolue sur la route. A l'époque, rares sont celles qui dépassent 230 km/h en toute sécurité et qui couvrent le 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Ce qui fera dire au magazine "Auto Sport" : "La ligne de la 300 SL est fabuleuse et ses performances presque incroyables", exemple parmi tant d'autres des propos dithyrambiques ayant accompagné l'arrivée de la 300 SL sur les routes d'Europe et des États-Unis. Ses titres de Championne d'Europe des Rallyes en 1955 et 1956 contribueront à établir son aura en course. Sortie d'usine le 18 août 1955, la Mercedes 300 SL "papillon" que nous présentons a fait l'objet de la commande numéro 759 097. Elle était de couleur blanche (code DB 50) et fait donc partie des 152 exemplaires livrés dans cette teinte, sur les 1 400 coupés 300 SL produits. De plus, elle bénéficiait de l'option des cinq jantes Rudge à fixation centrale qui n'a concerné d'origine que moins de 400 exemplaires. Et qui est encore plus introuvable dans le cas des jantes chromées, équipement particulièrement rare, surtout apprécié des clients américains. Rappelons que la 300 SL exposé au Salon de New York 1954 était doté de ces mêmes jantes chromées. Le 23 août 1955, cette 300 SL "Papillon" a été embarquée pour les États-Unis pour être livrée à Mercedes-Benz Distributors Inc., à New-York. Au milieu des années 60, elle était localisée en Floride et ses propriétaires successifs ont été identifiés par le spécialiste Éric Lemoine, comme suit : J. K. Klein, Miami Lakes (Floride) en 1977 ; Robert Dunigan, San Jose (Californie) en 1985 ; Terrel Sarkis (Massachusetts) en 1995 ; Alex Dearborn, Topsfield (Massachusetts) en 1999 ; Dick Gale, San Francisco (Californie) en 2000, puis son fils Richard Gale en 2009. A partir de 1985, alors qu’elle appartenait à M. Sarkis, elle a fait l'objet d'une restauration complète sur plusieurs années, par "Gullwing Service Company", a` Essex, premier atelier de restauration créé par le talentueux Paul Russell. L’ensemble des factures de la restauration a été réunis dans un livre relié du plus bel effet. Rappelons que celui-ci fait partie des maisons de restauration les plus réputés des États-Unis et que la première voiture à laquelle il s'est intéressé était justement la Mercedes 300 SL "Papillon", d'où le nom de son atelier. Il compte des quantités de récompenses décrochées lors des concours d'élégance les plus réputés, mais ne s'attache pas qu'aux aspects esthétiques, comme il le précise lui-même : "Une voiture ne doit pas se contenter d'avoir belle allure, elle doit aussi fonctionner correctement. Nous sommes extrêmement satisfaits lorsque nous parvenons à préserver une voiture ancienne à son meilleur niveau, tant de performances que de beauté." C'est de ces services de grande réputation dont a bénéficié la présente 300 SL, avec une remise en état extrêmement soignée. A cette occasion, elle a été repeinte de couleur noire (code DB 40) et a reçu une sellerie en cuir rouge (code 1079) de toute beauté. Au cours des dix années suivantes, elle n'a parcouru que 758 miles (1 220 km). Le 3 avril 2011, elle a été importée en Suède puis immatriculée le 9 juin au nom de Staffan Wittmark. Depuis, elle a passé sans problème les contrôles techniques en 2013 et 2016. Aujourd'hui, elle se présente dans un état exceptionnel car la restauration n'a absolument pas souffert des années qui se sont écoulées.

Estim. 1 400 000 - 1 800 000 EUR

1966 Ferrari 275 GTB No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 08389 Moteur n° 08389 • Certification Ferrari Classiche • Restauration complète de haute qualité par les meilleurs artisans • État superbe, restauration de très belle facture • Mécanique entièrement d'origine (moteur et transmission) • Sans réserve Avec une forme inspirée de la légendaire Ferrari 250 GTO, la 275 GTB remplace en 1964 la 250 GT Lusso tout en affichant une allure nettement plus sportive que sa devancière. Elle est aussi beaucoup plus moderne avec une suspension arrière indépendante et une transmission par boîte-pont, systèmes largement expérimentés par le constructeur sur ses modèles de compétition. Et enfin elle est plus puissante, son moteur V12 de 3,3 litres développant 280 ch. Destiné au marché américain et commandé par l'intermédiaire de Rezzaghi Motors, à San Francisco, l'exemplaire présenté ici est à l'origine de couleur "Grigio Argento" (code 106-E-1), avec un intérieur en cuir Connolly bleu (code VM 3015). M. Schnabel, son premier propriétaire, se rend à Maranello le 16 avril 1966 pour en prendre livraison avant de faire expédier la voiture chez lui, en Californie. Après le décès de M. Schnabel en 1971, son fils en hérite et l'utilise pendant cinq ans avant de la vendre en 1976 à S. Drummey, à Los Angeles. Quelque temps après, ce dernier la cède à un de ses amis mais la lui rachète au bout d'un an, sans même qu'elle ait changé d'immatriculation. En janvier 1982, elle est achetée par M. Glen Nesbit qui l'immatricule sous le numéro californien NEZ 3 puis, à partir de septembre 1984, sous le numéro 566 SAX, avant de la vendre en mars 1985 à M. Harlow Barnett, de Grapevine, au Texas. La Ferrari reste chez lui pendant 14 ans, avec les immatriculations successives 857 HFR et 487 LYN. Se pensant capable de la restaurer, Harlow Barnett se lance à un moment donné dans un démontage de la voiture mais, comme souvent dans ce genre de situation, il ne parvient pas à mener le projet à son terme et, à la fin des années 90, finit par demander au spécialiste Bob Smith Coachworks, de Gainesville (Texas), de reprendre les choses en main. A cette époque, cette 275 GTB est de teinte rouge avec intérieur en cuir noir et l'atelier entreprend une remise en état complète, avec mise à nu de la carrosserie et réfection de la sellerie et des composants mécaniques. Les travaux sont effectués petit à petit, en fonction des fonds disponibles et, en 1999, une fois la voiture terminée, elle est vendue à M. William Locke, de Tequesta (Floride). A cette époque, Harlow Barnett et son épouse ont en effet décidé de changer de mode de vie : ils se séparent de leur maison et achètent un motor-home pour partir en voyage. Une fois en possession de la belle Ferrari, William Locke participe à de nombreux évènements organisés par l'Antique Automobile Club of America (AACA), ainsi qu'au Cavallino Classic à Palm Beach en 2000, et au concours d'élégance d'Amelia Island en 2001 et 2003. La voiture remporte plusieurs récompenses : premier prix de sa catégorie à Amelia Island, nommée "Outstanding Vehicle" par l'AACA, premier prix de sa catégorie au meeting annuel de l'AACA, prix de l'"Automotive Design Excellence" au concours d'élégance de Hilton Head... En 2010, cette superbe automobile est achetée par son propriétaire actuel qui, avant de lui faire quitter les États-Unis, la confie à Greg Jones, spécialiste Ferrari basé à Stuart, en Floride, pour une révision mécanique complète. Elle est ensuite exportée en Europe et soumise à l'inspection de Ferrari Classiche qui confirme la présence du moteur et de la transmission d'origine et délivre le précieux "Red Book" de certification. En 2016 notre collectionneur, dont le souci esthétique ne se satisfait pas d'à-peu-près, considère que cette voiture a besoin d'une remise à niveau et il l'expédie donc chez Toni Auto, en Italie. La mécanique (moteur et boîte de vitesses) est déposée et révisée, avec remplacement des joints d'étanchéité et des supports moteur et boîte. Divers travaux sont également effectués sur d'autres composants mécaniques, pour les amener au même standard que le reste de la voiture. A l'intérieur, le propriétaire considère que la sellerie noire est trop sombre et la fait remplacer par un habillage en cuir Connolly beige (code VM 3218) conforme aux spécifications d'époque, avec moquette assortie. Ces travaux intérieurs sont réalisés par Interni Auto Maieli, près de Mantoue. A la suite de ces interventions, Toni Auto effectue les ultimes vérifications et mises au point, pour que la voiture présente une qualité de restauration et un fonctionnement irréprochable. Comme toutes les voitures de la W Collection, elle est accompagnée d’un dossier complet relatant son histoire et les travaux effectués, ainsi que son certificat Ferrari

Estim. 1 900 000 - 2 500 000 EUR

1963 Ferrari 250 GT Berlinetta Lusso No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 5191 GT Moteur n° 5191 GT • Certifiée par Ferrari Classiche • Restauration complète de haute qualité par Cremonini, Toni Auto, Luppi • Restauration concours, teinte superbe • Modèle rare mêlant prestige et performances • Sans réserve La Ferrari 250 GT Berlinetta Lusso (pour "luxe") est parfois considérée comme une des plus belles voitures de tous les temps, et les superlatifs du catalogue d'époque vont évidemment dans ce sens en affirmant : "D'une pureté de ligne impeccable, œuvre du grand carrossier Pinin Farina, confortable, distinguée, élégante et rationnelle, cette berlinette satisfait aux exigences les plus strictes de la clientèle la plus sévère, celle de Ferrari." Et il poursuit : "Sa robustesse, sa maniabilité et son accélération fulgurante font de cette "Grand Tourisme" une voiture particulièrement sûre et appropriée aux vitesses élevées." Que rajouter ? De toute évidence, Ferrari souhaitait combiner avec ce modèle prestige et performance, et le résultat dépassait les attentes. Sortie d'usine en 1963, la voiture que nous présentons, châssis 5191 GT, est la 165ème des 350 Lusso produites. Par l'intermédiaire du distributeur Ferrari officiel de Milan, MG Crepaldi, elle est vendue en Italie à son premier propriétaire Alfredo Honegger, de Bergame, qui en janvier 1964 l'immatricule BG 102546. Il l'utilise deux ans avant de la céder à un aristocrate portugais, Francisco Heredia, qui l'enregistre à son nom à l'adresse de l'Automobile Club d’Italia (ACI), à Milan. Il l'aurait gardée 16 ans avant qu'elle ne soit cédée en 1981 à un résident de Milan, Alfonso Malvessi. Les 26 et 27 septembre 1981, ce dernier participe au "Raid Ferrari d'Epoca" organisé à Modène et, bien qu'il soit inscrit avec une Dino 206 GT, il semble avoir utilisé la Lusso pendant l'évènement, sous le numéro 4. L'année suivante, en 1982, elle est achetée par le Dr Hans Bernbach, de Lugano, en Suisse, qui prend part en 1983 aux "Ferrari Days", à Modène, sous le numéro 91. Il y retourne en septembre 1985 pour les "80 Anni di Sport con la Ferrari", où il est inscrit sous le numéro 201. Cet évènement célèbre les 80 ans de l'ACI et, bien que non spécifiquement Ferrari, il rassemble un très grand nombre de modèles de la marque. Un changement de mains est ensuite enregistré en 2005 avec l'achat de la voiture par un collectionneur italien résident en Suisse. Il l'aurait gardée jusqu'en mai 2011 où elle est proposée aux enchères dans le cadre de la vente organisée parallèlement au Concorso d'Eleganza de Villa d'Este. A cette époque, cette Berlinetta Lusso est de couleur rouge avec intérieur beige. Elle est adjugée pendant la vente à un collectionneur suisse qui la confie ensuite à l'atelier Toni Auto, à Maranello, pour une restauration. C'est là que Staffan Wittmark la remarque et en négocie l'achat dans son état non terminé. Comme sa propre 250 GT Spider California est en cours de restauration chez Toni Auto, il est logique qu'il lui laisse la Lusso pour mener la réfection à son terme. Au moment de l'achat, la reconstruction de la partie mécanique (moteur, transmission, suspension, direction, freins et système électrique) est pratiquement achevée. A ce stade, le châssis et la carrosserie ont déjà été contrôlés et rectifiés, mais la couleur gris clair métallisé choisie par le précédent propriétaire ne rend pas justice à la ligne pure de la Lusso, si bien que Staffan Wittmark qui est particulièrement sensible au couleur des voitures composant sa collection décide de la refaire complètement. Après décapage complet, la coque est envoyée à la Carrozzeria Cremonini, spécialiste reconnu et installé à Lesignana, à côté de Modène, pour être préparée et repeinte en "Grigio Fumo Metallizzato", couleur correspondant au nuancier d'origine. Parallèlement, les enjoliveurs et accessoires de carrosserie bénéficient d'un chromage de niveau "concours" et des jantes Borrani RW 3801 neuves à rayons viennent apporter la dernière touche à l'aspect extérieur. Dans l'habitacle, la sellerie a été restaurée avec du cuir dont le propriétaire considère qu'il ne correspond pas aux standards du modèle, si bien que l'ensemble est complètement refait aux ateliers Luppi Tappezzeria, à Modène, avec du cuir Connolly Vaumol, code VM 3218, qui correspond aux spécifications d'origine. Une fois ces travaux terminés, la voiture revient chez Toni Auto qui effectue les dernières vérifications et mises au point avant livraison à son propriétaire d'une voiture proche de la perfection. Elle est bien sûr accompagnée de son "Red Book" de certification Ferrari Classiche, d'un CD et d’un livre de photos grand format qui en décrit l'histoire et la restauration ainsi que de sa trousse à outils. Pour notre collectionneur, desi

Estim. 1 400 000 - 1 800 000 EUR

1956 Porsche 356 A Speedster No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 82303 Moteur n° P*35666 • Modèle emblématique et ludique • Superbe remise en état ancienne • Séduisante combinaison de couleurs • Sans réserve Sortie d'usine en mai 1956, cette voiture a été envoyée au célèbre importateur Porsche à New York, Max Hoffman, personnalité-clé dans la création de la 356 Speedster, pour être livrée à son premier propriétaire. Comme l'indique son certificat Porsche d'époque, elle était alors blanche avec intérieur en simili rouge. En 1993, elle est revenue en Allemagne chez un M. Oberberg et a fait l'objet d'une restauration complète de grande qualité, avec mise à nu de la carrosserie et peinture neuve dans la superbe teinte "Stone Grey" qui se marie parfaitement avec sa ligne racée. Elle est ensuite passée dans une importante collection anglaise avant d'être achetée en 2009, auprès du marchand anglais Edmond Harris, par Staffan Wittmark qui apprécie particulièrement cette couleur pour les 356. La qualité de la restauration lui a permis de résister magnifiquement au temps et aujourd'hui la carrosserie est impeccable, avec des alignements superbes. Cette voiture est équipée de jantes chromées, d'une capote noire neuve. Le moteur d'origine (n°61775) ayant probablement été endommagé, il a été remplacé au moment de la restauration par un bloc en meilleur état (numéroté P*35666) qui occupe le compartiment arrière d'une irréprochable propreté. Une trousse à outils est attachée à la roue de secours, à l'avant. L'habitacle très bien refait est doté de sièges baquets rouges de belle facture, d'un rare volant spécial d'usine et d'un autoradio moderne. En 2020, cette voiture a été confiée à Porsche Haninge pour une révision totalisant quelque 5000 €. Basse, sportive, minimaliste, la 356 Speedster est une des versions les plus attirantes et des plus recherchées de la célèbre Porsche. Elle a fait les belles heures des stars hollywoodiennes, à commencer par James Dean qui en était friand. Grace à une restauration de belle qualité, elle saura fournir à son nouveau propriétaire les sensations grisantes qui séduisaient tant les célébrités de l'époque. Swedish title Chassis no. 82303 Engine no. P*35666 • Iconic model, fun to drive • Superb older restoration • Attractive colour combination • No reserve After leaving the factory in May 1956, this car was sent to the famous Porsche importer in New York, Max Hoffman, a key figure in the creation of the 356 Speedster, for delivery to its first owner. As its Porsche certificate from the time indicates, it was then white with a red leatherette interior. In 1993, it returned to Germany, to a Herr Oberberg, and underwent a complete bare-metal restoration to a high standard; the body was repainted in the superb shade of ‘Stone Grey’ which goes perfectly with its racy lines. It then joined a major English collection before being bought in 2009 from the English dealer Edmond Harris by Staffan Wittmark, who particularly liked this colour for the 356. The quality of the restoration has enabled it to withstand the ravages of time magnificently, and today the body is immaculate, with superbly aligned panels. The car is equipped with chrome wheels and a new black hood. The original engine (no. 61775) was probably damaged and was therefore replaced during the restoration by a block in better condition (no. P*35666), which has taken its place in the spotlessly clean rear compartment. A tool kit is attached to the spare wheel, in the front. The interior has been very well restored, with beautifully made red bucket seats, a rare special factory steering wheel and a modern radio. In 2020, the car was sent to Porsche Haninge for a service costing some € 5,000. Low-slung, sporty and relatively spartan, the 356 Speedster is one of the most attractive and sought-after versions of this famous Porsche. It was a hit with Hollywood stars, not least James Dean, who was fond of the model. Thanks to its high-quality restoration, this example will offer its new owner the same exhilarating drive that so appealed to celebrities back in the day.

Estim. 220 000 - 260 000 EUR

1983 Porsche 911 SC cabriolet No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° WP0ZZZ91ZDS151530 • État d'origine remarquable • 35 224 km d'origine seulement • Deux propriétaires depuis l'origine, dossier très complet • Sans réserve Grâce à son état de préservation et son faible kilométrage, cette voiture fait partie des plus belles 911 SC cabriolets encore en existence. Elle a été vendue neuve en juillet 1983 à un M. Karlsson qui l'a lui-même cédée directement à Staffan Wittmark, séduit par son état, et elle n'affiche que 35 227 km d'origine. Les rapports de contrôle technique depuis 1983 montrent que la voiture a été régulièrement utilisée, parcourant environ 1 000 km par an. Son magnifique état d'origine est donc en rapport avec cet historique. Splendide dans sa teinte blanc Grand Prix, la carrosserie ne montre que quelques traces d'impacts à l'avant, avec des ouvrants aux alignements impeccables. Les compartiments avant et arrière sont superbes, avec à l'avant le gonfleur, la trousse à outils et un coupe-batterie. La capote, peut-être refaite, est en bon état, avec une lunette arrière ni voilée ni marquée. L'intérieur est à l'avenant avec des sièges remarquablement conservés et un équipement qui comporte un système de climatisation (option d'origine) et un autoradio Blaupunkt. Cette voiture est accompagnée d'une documentation très complète : facture d'achat d'origine au nom de M. Karlsson, carnet de service dont la première page n’a jamais été remplie, manuel d'utilisation en allemand, additifs en suédois, ensemble des rapports de contrôle technique depuis 1983... Il s'agit donc d'une 911 SC cabriolet dans un état remarquable, dotée d'options intéressantes telles que la climatisation et les phares antibrouillard Bosch, affichant un historique parfaitement clair pour un faible kilométrage, ce qui permettra à son prochain propriétaire d'approcher les sensations que pouvait connaître l'acheteur d'un tel modèle quand il était neuf. Swedish title Chassis no. WP0ZZZ91ZDS151530 • Remarkable original condition • Only 35,224km from new • Two owners from new, comprehensive file • No reserve Thanks to its condition and low mileage, this is one of the loveliest 911 SC cabriolets still in existence. It was sold new in July 1983 to a Mr Karlsson, who in turn sold it directly to Staffan Wittmark, who was won over by its condition, and it has done only 35,227km from new. The safety inspection reports since 1983 show that the car has seen regular use, covering about 1000km a year. Its magnificent original condition is commensurate with this history. Resplendent in its colour of Grand Prix White, the body has impeccably aligned panels, with only a few chips on the front. The front and rear compartments are superb, with the tyre compressor, tool kit and a battery cut-out switch at the front. The hood, which may have been restored, is in good order, and the rear screen is clear and unmarked. The interior is just as good, with remarkably well preserved seats and equipment including air-conditioning (an option fitted from new) and a Blaupunkt radio. The car comes with extensive documentation: the original sales invoice in the name of Mr Karlsson, the service booklet, the first page of which has never been filled in, an owner’s manual in German, with a Swedish supplement, and a full set of safety inspection reports since 1983 ... It is therefore a 911 SC cabriolet in remarkable condition, with attractive options such as air-conditioning and Bosch fog lamps, with a perfectly clear history to go with its low mileage, which will allow its new owner to come close to the sensations the buyer of a model like this would have experienced when it was new.

Estim. 70 000 - 110 000 EUR

1971 Porsche 911 2.4 S No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9112300634 Moteur n° 6320961 • Restauration de grande qualité, intérieur magnifique • Modèle recherché, à trappe à huile extérieure • Moteur d'origine, couleurs d'origine • Set de bagages assortis à la sellerie par Ferraresi • Sans réserve Cette Porsche 911 S 2,4L se distingue par la qualité de sa restauration et sa finition intérieure de toute beauté. Vendue neuve en Italie, à Varese, elle a appartenu de 1980 à 2013 au même propriétaire, M. E. Sassi, d'Alessandria. C'est probablement lui qui l'a fait restaurer avant de la céder à un M. Invernizzo, de Tortona, qui l'a lui-même vendue à un spécialiste anglais, Fine Cars. C'est auprès de ce dernier que Staffan Wittmark en a fait l'acquisition, en 2014. Il s'agit d'une enviable version à trappe à huile à l'extérieur. Rappelons que cet aménagement a accompagné à l'époque le déplacement du réservoir d'huile, mais que sa confusion avec la trappe à essence à amené Porsche à le supprimer rapidement. Les survivantes qui en sont dotées sont aujourd'hui rares et recherchées. Grâce à sa restauration de haut niveau la carrosserie de cette voiture, dans sa teinte noire d'origine, est superbe, avec des ouvrants magnifiquement alignés et une peinture impeccable, même si le noir ne pardonne pas les défauts. Le compartiment moteur semble d'origine et le coffre avant est représentatif de la qualité de la restauration. Il contient la trousse à outils ainsi qu'un jeu de sacs de voyage dans le même tissu que celui des sièges et fabriqué par Ferraresi Interni Auto, un des plus grands selliers italiens basé à Ferrare et qui a sans doute restauré l'intérieur de la voiture. Magnifique, l'habitacle est tendu de cuir brun clair avec un tissu assorti, ce qui procure une atmosphère lumineuse. L'ensemble est pratiquement neuf et donne l'impression de n'avoir jamais été utilisé. Cette voiture est accompagnée d'un intéressant dossier historique, avec un certificat d'origine Porsche, un ensemble de documents et factures relatifs à sa vie en Italie, incluant la copie de l’ancien titre de circulation, et un manuel d'utilisation. La dernière révision a été effectuée par Porsche Haninge, en 2020. Avec sa restauration magnifique et son millésime recherchée, c'est une pièce de choix pour tout amateur de cette classique allemande. • High-quality restoration, magnificent interior • Sought-after model with outside oil filler • Original engine and colours • Set of luggage to match upholstery by Ferraresi • No reserve This Porsche 911 2.4 S is set apart by the quality of its restoration and exquisite interior finish. Sold new at Varese in Italy, from 1980-2013 it belonged to the same owner, E. Sassi from Alessandria. It was probably Sassi who had the car restored before selling it to a Sig. Invernizzo, from Tortona, who in turn sold it to an English specialist, Fine Cars. It was from them that Staffan Wittmark bought it in 2014. It is a desirable version with the wing-mounted oil filler flap. This arrangement went with the relocation at the time of the oil tank, but it could be confused with the fuel filler flap and quickly led Porsche to scrap it. The surviving cars with it are now rare and sought after. Thanks to its high-quality restoration, the bodywork of this car, finished in its original black, is magnificent, with superbly aligned panels and immaculate paint, even though black does not forgive any faults. The engine compartment appears original, while the boot at the front is representative of the standard of the restoration. It contains the tool kit as well as a set of travel bags in the same fabric used for the seats made by Ferraresi Interni Auto, one of the top Italian trimmers, based in Ferrare, who in all probability restored the interior of the car. The magnificent passenger compartment is trimmed in light brown leather with matching cloth, giving it a light and airy feel. The whole car is virtually new and gives the impression that it has never been used. The car comes with an interesting history file with a certificate of origin from Porsche, a set of documents and invoices from its time in Italy (including a copy of its former registration certificate) and an owner’s manual. The last service was carried out by Porsche Haninge in 2020. Superbly restored and from a sought-after model year, this is a prime example for any lovers of this German classic.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

1957 Chevrolet Corvette No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° E57S105992 • Forme séduisante pour ce millésime 1957 • Puissant V8 • Restauration ancienne bien préservée • Sans réserve Vendue neuve aux États-Unis, cette Corvette cabriolet est arrivée en Europe à la fin des années 80, puis en 1998 en Suède. Elle a fait l'objet d'une révision complète en 2015 et c'est l'année suivante que Staffan Wittmark en a fait l'acquisition, séduit par le dessin de cette sportive d'outre-Atlantique. C'est d'ailleurs la seule voiture américaine de sa collection. En décembre 2023, elle a été confiée à l'atelier SRO, au Castellet, pour une réfection complète du circuit d'alimentation, avec rinçage du réservoir et du carburateur, remise en état de la pompe, remplacement des canalisations et de la jauge à essence. A cette occasion, le liquide de refroidissement a été vidangé, le radiateur ayant été refait peu avant. Aujourd'hui, cette voiture présente l'aspect qui correspond à une restauration ancienne joliment patinée. L'habitacle est dans un bel état, avec ses sièges rouges, le petit levier de la boîte manuelle à quatre rapports et l'impressionnant tableau de bord dont les instruments s'étalent sur toute la surface, de part et d'autre d'un autoradio à l'allure ancienne. Un porte-gobelet a été rajouté dans l'accoudoir central. Le compartiment moteur semble conforme à l'origine et la voiture a été très peu utilisée ces dernières années. La version 1957 est particulièrement attrayante sur le plan du style et son moteur V8 lui apporte la puissance permettant de tenir le haut du pavé. Ce cabriolet constitue une belle représentante de cette grande classique, réponse de Chevrolet à la déferlante de voitures de sport européennes aux États-Unis au début des années 50. • Appealing design of this 1957 model • Powerful V8 • Well-preserved older restoration • No reserve Sold new in the United States, this Corvette convertible arrived in Europe at the end of the 1980s, and in Sweden in 1998. It underwent a complete overhaul in 2015 and was acquired the following year by Staffan Wittmark, who was won over by the design of the American sports car. It is, moreover, the only American car in his collection. In December 2023, it was sent to the SRO workshop at Le Castellet for a complete rebuild of the fuel system: the fuel tank and carburettor were flushed and cleaned, the pump repaired, and the fuel lines and gauge replaced. At the same time, the coolant was drained, the radiator having been rebuilt shortly before. Today, the car has the appearance of an older restoration with an attractive patina. The interior is in fine condition, with its red seats, the little lever for the four-speed manual gearbox and the impressive dashboard with its array of instruments spread across its entire width, on both sides of a classic-looking radio. A cupholder has been added to the centre armrest. The engine compartment appears to be to the original specification and the car has seen very little use in recent years. The styling of the 1957 version is especially attractive and its V8 engine gives it the power to lead the pack. This convertible is a fine representative of this great classic, which was Chevrolet’s response to the flood of European sports cars reaching the States at the start of the 1950s.

Estim. 70 000 - 100 000 EUR

1969 Porsche 911 2,0L E Targa No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 119210063 Moteur n° 6290148 • Forme pure des premières versions • Superbe restauration • Moteur d'origine • Couleur Polo Red (6802) d’origine • Sans réserve Le premier propriétaire de cette Porsche 911 E, M. Philip Newman, était basé dans l'Indiana, aux États-Unis. Il reçoit cette 2,0L Targa, Polo Red (6802) à l’origine, en novembre 1968. Comme nous le montre la copie de son ancien titre de circulation italien, on retrouve cette voiture en Italie de 1990 à 2013 et, lors de ce séjour, elle a fait l'objet d'une restauration complète sous la direction de Porsche Padova qui a confié la tôlerie et la peinture à un autre spécialiste, et la remise en état du moteur à un Sig. Veradini. Des factures de travaux mécaniques totalisant 17 000 € figurent au dossier. En 2013, cette voiture a été exportée en Allemagne, puis achetée par Stentenbach Classics, grand spécialiste des premières 911, qui l'a cédée en 2016 à Staffan Wittmark. En 2021, elle a été prise en charge par Porsche Haninge pour une révision et n'a plus roulé depuis. Cette voiture est équipée de son moteur d'origine à injection (le "E" signifiait "Einspritzung", injection en allemand), développant près de 140 ch. Sa restauration de très grande qualité lui permet de se présenter dans un état superbe au niveau tôlerie, peinture, mécanique et intérieur. La voiture a conservé sa teinte d’origine Polo Red (6802) que Staffan Wittmark désirait avoir dans sa collection pour contraster avec ses deux 911 orange. Les sièges en simili noir avec assises en tissu "Pepita" sont comme neufs et le volant à jante bois, qui semble d'époque, a été reverni. La tableau de bord a été restauré et ne souffre que d'une petite fente au niveau de la casquette. Cette Porsche 911 E est intéressante car elle bénéficie de la forme d'origine de la 911, sans spoiler avant, combinée à un empattement plus long permettant un comportement plus stable, et à un moteur à injection d'excellent rendement. L'état magnifique de l'exemplaire que nous présentons est à la hauteur de ce modèle enviable, léger, vif et endurant. • Pure shape of the first versions • Superb restoration • Original engine • Original Polo Red colour (6802) • No reserve The first owner of this Porsche 911 E, Philip Newman, was based in Indiana, in the USA. He took delivery of this 2.0 Targa, originally in Polo Red (6802), in November 1968. As can be seen from the copy of its former Italian title, the car was in Italy from 1990-2013, and during its time there it was completely restored under the direction of Porsche Padua, who contracted work on the body and paint to another specialist, and the reconditioning of the engine to a Sig. Veradini. The file contains bills for mechanical work for 17,000 €. In 2013, the car was exported to Germany and then bought by Stentenbach Classics, a leading specialist in the first 911s, who sold it in 2016 to Staffan Wittmark. In 2021, it was serviced by Porsche Haninge and has not been driven since. The car is fitted with its original fuel-injected engine (the ‘E’ stands for ‘Einspritzung’, German for injection), developing nearly 140bhp. Its very high quality restoration ensures that it is presented in superb condition in terms of its bodywork, paint, interior and mechanical components. It has kept its original Polo Red (6802), which Wittmark wanted to have in his collection as a contrast to his two orange 911s. The black leatherette seats with centre sections in ‘Pepita’ cloth are like new and the wood-rimmed steering wheel, apparently from period, has been revarnished. The dashboard has been restored and has only a small split on the top. This Porsche 911 E is of interest because it combines the original shape of the 911, without a front spoiler, with the longer wheelbase that makes for more stable handling and a fuel-injected engine with excellent performance. The magnificent condition of this example is a match for this desirable model, which is light, agile and durable.

Estim. 110 000 - 150 000 EUR

1969 Porsche 911 2,2L T Targa No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9110110416 Moteur n° 6107027 • Une des plus belles 2,2L T Targa en existence • Moteur d'origine • Carnet d'entretien et manuel d'origine • Couleur "Tangerine" d’origine • Sans reserve Cette voiture est sans doute l'une des plus belles 911 2,2LTarga encore en existence. Elle fait partie des toutes premières 2,2 T Targa construites en 1969. Initialement destinée au marché américain et équipée d'une antenne électrique, de vitres teintées et d'enjoliveurs de roues chromés, elle a été livrée neuve en octobre 1969 en Hollande dans les couleurs emblématiques extérieur "Tangerine" (code 2310) intérieur en simili noir. Fait incroyable on peut consulter le carnet d'entretien d’origine qui indique une première révision en décembre 1969, à 294 miles. En 1970, cette voiture a été exportée en Californie avant de revenir en 2006 en Allemagne. En 2012, elle a changé de propriétaire et a fait l'objet d'une remise en état de carrosserie dont l'authenticité a été préservée dans sa séduisante teinte "Tangerine" d'origine. La présentation générale est aujourd'hui superbe et l'armature en inox du toit Targa, d'origine, ne souffre que de micro-rayures. Le compartiment moteur est verni noir et le coffre avant paraît d'origine. L'intérieur est dans un état de préservation absolument unique, avec des sièges en similicuir sans doute d'origine superbes, sans déchirure. L'habillage de toit a été refait et les moquettes remplacées, et l'équipement comporte un autoradio Blaupunkt. Le moteur d'origine, doté de deux carburateurs Weber triple corps, a été refait chez un spécialiste par le précédent propriétaire suédois. Cette voiture est accompagnée d'un important dossier historique et d'entretien (factures), ainsi que de son carnet de garantie et son manuel d'utilisation d'origine, ce qui est particulièrement rare pour une voiture de cette époque. Grâce à une qualité de restauration qui a su préserver le caractère original de cette 2,2 litres Targa, elle se présente dans un état qui n'a guère d'équivalent sur le marché. Les connaisseurs apprécieront ! Swedish title Chassis no. 9110110416 Engine no. 6107027 • One of the finest 2.2 T Targas in existence • Original engine, restored at a cost of 70,000 € • Original service book and owner’s manual • Original ‘Tangerine’ colour • No reserve This car is undoubtedly one of the finest 911 2.2-litre Targas still in existence. It was one of the very first 2.2 T Targas built in 1969. Initially destined for the North American market and equipped with an electric aerial, tinted glass and chrome wheel trims, it was delivered new in October 1969 in Holland, in the iconic colours of ‘Tangerine’ (code 2310) for the exterior and a black leatherette interior. Incredibly, the original service book can still be consulted and shows the first service in December 1969, at 294 miles. In 1970, the car was exported to California, before returning to Germany in 2006. In 2012, it changed hands and the body was restored, retaining its authenticity and attractive original ‘Tangerine’ colour. The car’s overall presentation today is superb and the original stainless-steel roll bar for the Targa roof has only suffered some micro-scratches. The engine compartment has been painted black, while the boot in the front appears original. The state of preservation of the interior is quite unique, with superb leatherette seats which are free from tears and no doubt original. The headlining has been redone and the carpets replaced; the equipment includes a Blaupunkt radio. The previous Swedish owner had the original engine, with its twin triple-barrel Weber carburettors, rebuilt by a specialist. The car comes with an extensive file covering its history and maintenance (with bills), as well as its warranty booklet and original owner’s manual, which is particularly rare for a car from this period. Thanks to the quality of the restoration which has preserved the original character of this 2.2-litre Targa, it is in virtually unmatched condition among cars on the market. Connoisseurs will appreciate it!

Estim. 100 000 - 150 000 EUR

1989 Porsche 911 Carrera 3.2 Speedster Turbo-Look No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 151776 • 52 548 km d'origine seulement, voiture très bien préservée • Configuration "triple black" • Nombreuses options d'origine • Modèle rare et exclusif • Sans réserve Cette très belle 911 Speedster bénéficie d'une rare configuration "triple black", avec carrosserie, intérieur et capote noirs. Grâce à son kilométrage limité (52 428 km au compteur), elle est très bien préservée d'origine. Avec un alignement d'ouvrants très satisfaisant, la carrosserie offre un tel éclat qu'elle a peut-être été repeinte. La capote est correcte, avec quelques microdéchirures et une lunette arrière en plastique légèrement ternie. En bel état d'origine, le coffre avant n'a visiblement jamais subi de choc et contient gonfleur et trousse à outils, l'étiquette constructeur étant bien présente sous le capot. L'intérieur est lui aussi entièrement d'origine, l'usure se limitant de façon discrète au siège conducteur. Cette voiture est équipée d'origine de très nombreuses options telles que : volant avec moyeu surélevé, sièges chauffants et réglables en hauteur, lave-phares, régulateur de vitesse, présentation Turbo-Look, alarme, climatisation, moyeu volant en cuir, absence de spoilers avant et arrière. Vendue neuve en mai 1989 à Nuremberg, en Allemagne, cette 911 Speedster est ensuite passée entre les mains de deux autres propriétaires à Solingen et Leverkusen avant d'être achetée en 2015 par Staffan Wittmark. Il désirait un Speedster triple black, tout comme sa 930, car il trouvait que c’était la couleur qui allait le mieux à cette génération. Son carnet d'entretien est tamponné des révisions régulières, la dernière ayant eu lieu en 2020 en Suède, et sa pochette en cuir contient plusieurs documents tels que manuels d'utilisation et de l'autoradio Porsche, certificat d'identification Porsche, double des clés. Cette 911 Speedster allie l'exclusivité et la rareté du modèle à une configuration et des options particulièrement séduisantes ainsi qu'à un état d'origine très bien préservé, ce qui en fait un exemplaire extrêmement attractif. Swedish title Chassis no. 151776 • Only 52,548km from new, very well preserved example • ‘Triple black’ specification • Numerous options from new • Rare and exclusive model • No reserve This great-looking 911 Speedster has a rare ‘triple black’ spec, with a black body, interior and hood. Thanks to its low mileage (52,548km on the clock), it has been very well preserved from new. The panel gaps are extremely satisfactory and the bodywork is so lustrous that it may have been repainted. The hood is in decent condition, with a few tiny tears and slight discolouration to the plastic rear screen. In fine original condition, the front luggage compartment has clearly never suffered any accident damage, and the tyre compressor, tool kit and manufacturer’s underbonnet sticker are all present. The interior is also completely original, with only some unobtrusive wear on the driver’s seat. The car has numerous options from new, including a steering wheel with an elevated hub, heated seats with height adjustment, headlamp washers, cruise control, Turbo Look kit, alarm, air-conditioning, leather-trimmed horn pad and no front or rear spoilers... Sold new in May 1989 in Nuremberg, in Germany, this 911 Speedster had two other owners, in Solingen and Leverkusen, before it was bought in 2015 by Staffan Wittmark. He wanted a ‘triple black’ Speedster, just like his 930, the colour he found best suited to this generation of 911. Its service book has stamps for the regular services carried out, the last of them in 2020 in Sweden, and its leather wallet contains several documents such as the owner’s manual and Porsche radio manual, its Porsche identification certificate and a second set of keys. This 911 Speedster combines the exclusivity and rarity of the model with a particularly appealing specification and set of options, as well as its very well preserved original condition, making it an extremely attractive example.

Estim. 150 000 - 200 000 EUR

VICTOR VASARELY (Pécs, Hongrie, 1908 - Paris, 1997). Sans titre, 1981. Collage de papier sur carton. La paternité de cette œuvre a été confirmée par Pierre Vasarely. Signé deux fois dans le coin inférieur droit, daté et dédicacé. Dimensions : 40 x 27 cm ; 60 x 47 cm (cadre). L'œuvre de Vasarely repose sur la découverte que la déformation d'une grille bidimensionnelle peut générer un paysage tridimensionnel abstrait, avec des élévations et des dépressions, où les carrés se transforment en losanges et les cercles en ellipses. Ainsi, l'effet illusionniste qui combine la convexité et la concavité avec la dilatation et la contraction, contient un symbolisme cosmique réfléchi, évoquant le rythme qui naît des étoiles, ainsi que la formation des galaxies par l'expansion de l'univers dans son ensemble. Considéré comme le père de l'Op Art, Victor Vasarely a commencé sa formation artistique à l'école Muheely, fondée à Budapest par un élève du Bauhaus. Il s'installe à Paris en 1930, où il crée ce qui est considéré aujourd'hui comme la première œuvre de l'Op Art, "Zebra" (1937). À Paris, il travaille comme graphiste pour des agences de publicité. Pendant cette période, son style artistique varie de l'expression figurative vers un type d'art abstrait constructif et géométrique, intéressé par la représentation de la perspective sans point de fuite.Entre 1936 et 1948, il participe régulièrement au Salon des Surindépendants et au Salon des Nouvelles Réalités. À partir de 1948, il expose régulièrement à la galerie Denise René. Dans les années cinquante, son travail aborde l'utilisation de nouveaux matériaux et supports tels que l'aluminium ou le verre. De même, il commence à réaliser des œuvres d'intégration à l'espace, comme Hommage à Malevitch. Dans les années soixante, il participe à de nombreuses expositions collectives, comme The Responsive Eye au Museum of Modern Art de New York, ainsi qu'à des expositions personnelles en Europe et en Amérique. Parmi les nombreuses récompenses qu'il a reçues tout au long de sa vie, on peut citer le prix Guggenheim (1964), les critiques d'art de Bruxelles et la médaille d'or de la Triennale de Milan. En 1970, il a également été nommé chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur. Il est représenté dans les musées qui lui sont consacrés à Aix-en-Provence, Pécs et Budapest, mais aussi dans les plus importants centres d'art contemporain du monde, comme la Tate Gallery de Londres, le MoMA de New York, le Guggenheim de Venise ou le Reina Sofia de Madrid. La paternité de cette œuvre a été confirmée par Pierre Vasarely.

Estim. 15 000 - 18 000 EUR

1971 Porsche 911 2.4 S No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9112300624 Moteur n° 6320959 • Superbe restauration • Moteur d'origine, française d’origine • Rare version trappe à huile • Options nombreuses et recherchées • Sans réserve Selon le certificat d'origine qui l'accompagne, cette Porsche 911 S a été livrée neuve en décembre 1971 à Paris. Elle était de couleur ivoire "Hellelfenbein", avec intérieur en simili noir. Elle était équipée d'origine de plusieurs options : amortisseurs Koni (M 402 défini sur le certificat comme équipement pour les « French Colonies »), toit ouvrant électrique (M 650), vitres électriques (M 651), et elle comporte aussi une climatisation Denso et des phares additionnels. Les vitrages comportent encore le gravage de la probable première immatriculation française, 6831 CW 33, datant du début de l’année 1972. Plus récemment, cette voiture a passé quelque temps à Monaco où elle était immatriculée M 476, avant d'être achetée en 2015 par Staffan Wittmark. Entièrement refaite en Allemagne en 2013/2014 par Mittel Motor, à Bochum, elle se présente en bel état avec des alignements de carrosserie satisfaisants et une peinture bien appliquée. Le compteur affiche 1 435 km, ce qui semble le kilométrage parcouru depuis la restauration. La dernière révision a eu lieu en 2020 chez Porsche, en Suède. Le compartiment moteur est en très bel état d'origine et l'intérieur a été refait avec soin. Les sièges baquets ont été restaurées conformément à l’origine, avec leur sellerie en simili et velours, et un autoradio Blaupunkt équipe le tableau de bord. La voiture est livrée avec une importante documentation comprenant de nombreuses factures, un manuel d'utilisation, d'anciens certificats d'immatriculation, un passeport FIVA de l'an 2000 et un document German Classic Data donnant la note "1" (la plus élevée possible) pour ce qui concerne l'état de la voiture. Avec sa trappe à huile extérieure, la Porsche 911 2.4S constitue une des versions les plus convoitées de la célèbre classique allemande. Dans son état superbe et avec ses options intéressantes, la voiture que nous proposons n'en est que plus enviable. Swedish title Chassis no. 9112300624 Engine no. 6320959 • Superb restoration • Original engine, supplied new to France • Rare version with wing-mounted oil filler • Numerous sought-after options • No reserve According to the certificate of origin it comes with, this Porsche 911 S was delivered new in Paris in December 1971. It was finished in ‘Hellelfenbein’ (ivory), with a black leatherette interior. It was fitted from new with several options: Koni shock absorbers (code M 402, listed as equipment for the French Colonies), an electric sunroof (M 650), electric windows (M 651); it also had Denso air-conditioning and additional driving lamps. The windows are still engraved with what was probably its first French registration number, 6831 CW 33, dating from the start of 1972. More recently, the car spent some time in Monaco, where it was registered M 476, before it was bought in 2015 by Staffan Wittmark. Completely restored in Germany in 2013/2014 by Mittel Motor, in Bochum, it is in fine condition, with nicely aligned panels and well applied paintwork. The odometer is reading 1435km, which appears to be the mileage covered since its restoration. The last service was carried out in 2020 by Porsche, in Sweden. The engine compartment is in excellent original condition and the interior has been carefully restored. The bucket seats have been restored to their original specification, with leatherette and velour upholstery, while the dashboard features a Blaupunkt radio. The car will be supplied with extensive documentation including several bills, the owner’s manual, old registration papers, a FIVA passport from 2000 and a German Classic Data document attributing the rating of ‘1’ (the highest possible) to the car’s condition. With its outside oil filler, the Porsche 911 S 2.4 is one of the most sought-after versions of this famous German classic. Its superb condition and interesting options make the car we are offering all the more desirable.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

SALVADOR DALÍ I DOMÈNECH (Figueras, Girona, 1904 - 1989). Sans titre, 1977. Encre sur papier. Signé, daté et dédié "à mon ami Martí". Dimensions : 29,5 x 19 cm ; 40 x 30 cm (cadre). Dans ce dessin original de Dalí, daté de 1977, on reconnaît saint Georges à cheval armé, car Dalí a réinventé l'iconographie de ce saint en le plaçant dans des paysages de l'Empordà ou dans des décors qui renvoient à des déserts mystiques comme celui qui inspire cette composition. En d'autres occasions, il a réinterprété le thème de Saint-Georges et du dragon en langage sculptural. Dalí souhaitait représenter la dualité entre la vie et la mort, entre l'éphémère et l'éternel, les forces obscures de la nuit et celles du jour, le sommeil et la raison. C'est pourquoi il choisit des figures emblématiques comme Saint-Georges ou Don Quichotte, auquel il consacre d'ailleurs d'innombrables dessins. Salvador Dalí a été l'un des plus grands représentants du mouvement surréaliste. Son œuvre a grandement influencé le cours du surréalisme au cours des années 20 et 30, étant reconnue comme le créateur de la méthode paranoïaque-critique, une combinaison essentielle du réel et de l'imaginaire. Dans ses jeunes années, Dalí découvre la peinture contemporaine lors d'une visite familiale à Cadaqués, où il rencontre la famille de Ramon Pichot, un artiste qui se rendait régulièrement à Paris. Sur les conseils de Pichot, Dalí commence à étudier la peinture avec Juan Núñez. En 1922, Dalí s'installe à la célèbre Residencia de Estudiantes de Madrid pour commencer à étudier les beaux-arts à l'Académie San Fernando. Cependant, avant ses examens finaux en 1926, il est renvoyé pour avoir prétendu qu'il n'y avait personne en mesure de l'examiner. La même année, Dalí se rend pour la première fois à Paris. Il y rencontre Picasso et établit certaines caractéristiques formelles qui deviendront distinctives de toute son œuvre à partir de ce moment-là. Pendant cette période, Dalí expose régulièrement à Barcelone et à Paris, et rejoint le groupe surréaliste basé dans le quartier parisien de Montparnasse. Le peintre débarque en Amérique en 1934, grâce au marchand d'art Julian Levy. Sa première exposition individuelle à New York consolide définitivement sa projection internationale et, depuis lors, il expose ses œuvres et donne des conférences dans le monde entier. La majeure partie de sa production est rassemblée au Théâtre-musée Dalí de Figueras, puis dans les collections du Salvador Dalí Museum de St. Petersburg (Floride), du Reina Sofía de Madrid, de la Salvador Dalí Gallery de Pacific Palisades (Californie), de l'Espace Dalí de Montmartre (Paris) ou du Dalí Universe de Londres.

Estim. 4 000 - 5 000 EUR

1972 Porsche 911 2,4 S Targa No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9112310949 Moteur n° 6322501 • Modèle rare, trappe à huile extérieure • Moteur d'origine • Restauration de qualité • Carnet de service d’origine • Sans réserve Cette voiture est bien documentée grâce à son certificat d'authenticité et son carnet d'entretien d'origine. Sortie d'usine en janvier 1972, elle a été livrée au mois de juillet suivant à un amateur de Chioggia, au sud de Venise, en Italie. Conforme à la règlementation italienne de l'époque (notamment au niveau de l'éclairage), elle était de teinte blanc ivoire (code 1110) avec intérieur en simili noir et comportait plusieurs options : sièges sport, appuie-tête, phares antibrouillard halogènes, vitres teintées. Au début des années 1980, elle était encore dans la région avant de rejoindre les États-Unis où elle a été utilisée par deux propriétaires successifs, dont un en a fait le sujet de sa carte de vœux pour Noël 1994. Apparemment, il surnommait sa voiture "Rudolph II". En 2015, elle est revenue en Allemagne où elle a été achetée par Staffan Wittmark pour constituer une paire avec sa 911 2,4L S de même époque et de même couleur, elle aussi à trappe à huile à l'extérieur (disposition qui n'a duré qu'un seul millésime) : il disposait ainsi des deux versions coupé et Targa dans une présentation identique. Entièrement restaurée, cette voiture est en très bel état et le compartiment arrière, d'aspect très satisfaisant, est doté du moteur d'origine. Les moquettes et le toit Targa ont été refaits mais les sièges et contreportes semblent d'origine et montrent une jolie patine d'usage. Un autoradio Becker Grand Prix équipe le tableau de bord. En plus du certificat d'origine et du carnet d'entretien mentionnés plus haut, le dossier historique comprend le manuel d'utilisation dans sa pochette et un ensemble de factures de la période américaine. Ce très bel exemplaire représente l'occasion d'acquérir une version rare et particulièrement appréciée de la célèbre 911 qui n’a existé qu’un seul millésime. Swedish title Chassis no. 9112310949 Engine no. 6322501 • Rare model, outside oil filler • Original engine • High-quality restoration • Original service book • No reserve Thanks to its certificate of authenticity and original service book, this car is well documented. It left the factory in January 1972 and was delivered the following July to an enthusiast from Chioggia, south of Venice. In accordance with the Italian legislation at the time (in particular with regard to lighting), it was finished in light ivory (code 1110) with a black leatherette interior, and had several options: sports seats with headrests, halogen fog lamps and tinted glass. At the start of the 1980s, it was still in the region, before leaving for the United States, where it was used by two successive owners, one of whom made it the subject of his Christmas card in 1994. Apparently, he nicknamed his car ‘Rudolph II’. In 2015, it returned to Germany, where it was bought by Staffan Wittmark to form a pair with his 911 2.4 S of the same period and colour, both cars having the outside oil filler (a feature which lasted only one model year); he thus had identical-looking coupé and Targa models. Completely restored, the car is in excellent condition and the rear compartment, which is most satisfactory in appearance, houses the original engine. The carpets and Targa roof have been restored, but the seats and door cards appear to be original and have an attractive patina. A Becker Grand Prix radio is fitted in the dashboard. As well as the certificate of origin and service book mentioned above, the history file includes the owner’s manual in its wallet and a set of bills from its time in America. This very fine example represents an opportunity to acquire a rare and particularly appreciated version of the famous 911 which existed for only a single model year.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

Harpe de Cousineau Bois ébonisé et doré, placage d'érable, fer forgé, bronze doré au feu, laiton, filet d'ivoire, fil de fer. Gravé en haut "COUSINEAU PERE ET FILS À PARIS", numéro estampé et doré "E 277". H 176,3, P 81 cm. Paris, Georges (1733 - 1800) et Jacques-Georges (1760 - 1836) Cousineau, 1775 - 1800. Son et beauté La jeune Marie-Antoinette, arrivée à Paris en 1770 en tant qu'épouse de l'héritier du trône de France, déclencha, en tant que joueuse de harpe enthousiaste, une véritable mode pour cet instrument. Les facteurs de harpe les plus demandés de cette époque étaient Sébastien Erard, Georges Cousineau et Jean-Henri Naderman. Tous trois travaillaient en étroite collaboration avec Jean Baptiste Krumpholtz, peut-être le plus grand harpiste de son époque. La propre harpe de Marie-Antoinette était également l'œuvre de Jean-Henri Naderman et se trouve à Versailles, où elle peut être visitée. La harpe présentée ici est signée Cousineau Père et fils. L'entreprise a été fondée par Georges Cousineau en 1766. En 1775, son fils Jacques-Georges Cousineau entra dans l'entreprise en tant qu'associé. Comme cet exemplaire, leurs harpes étaient généralement équipées de sept pédales. Ces pédales actionnaient, par le biais d'un mécanisme de béquilles, une série de béquilles ou doubles leviers qui permettaient d'élever chaque corde d'un demi-ton plus précisément qu'il n'était possible de le faire auparavant. Après la mort de son père, Jacques-Georges a continué à fabriquer des instruments, mais sous son propre nom de "Luthier et Maître de Harpe de l'impératrice Joséphine". Il se produisit également comme harpiste et écrivit des compositions. Les harpes de Cousineau se trouvent entre autres dans les collections des musées suivants : Victoria and Albert Museum London, acc. no. 8531-1863. The Metropolitan Museum of Art New York, acc. no. 52.105, Gift of Mrs. Simon Guggenheim, 1952. Expertise Autorisation de commercialisation disponible pour le marché intérieur de l'UE (DE-K-230201-14). Cet objet a été fabriqué à l'aide de matériaux pour lesquels un permis CITES est requis en cas d'exportation vers des pays hors de l'UE. Nous attirons votre attention sur le fait qu'en règle générale, une autorisation n'est pas délivrée.

Estim. 4 000 - 6 000 EUR